samedi 17 décembre 2011

DONNÉES OFFICIELLES DU RÉSEAU DE TRANSPORT DE L'ÉLECTRICITE. Production électrique éolienne instantanée le 10/12/2011 à 17h15 : 0,7% de l'électricité produite EN FRANCE !!! Ce constat marque la mort des défenseurs inconscients, idéologiques, immatures ou faussaires avides de gains financiers ou de bulletins de vote du "tout éolien"...

La part de l'éolien dans la production électrique française s'effondre (10/12/2011) : 0,7 % !!!
Avec une puissance instantanée fournie de 517 MW, soit 0,7% de la production électrique totale de 69.257MW, le parc éolien de 4000 machines en fonctionnement a pratiquement cessé de produire de l'électricité, samedi 10 décembre à 14h45 (chiffres officiels fournis par le Réseau de Transport de l'Électricité).
La Fédération Environnement Durable (FED) s'étonne du silence des professionnels de l'éolien qui crient victoire au moindre coup de vent en annonçant des records battus mais qui gardent le silence lorsque ces machines sont à l'arrêt par manque de vent.
Le Grenelle de l'Environnement a fixé à la filière éolienne un objectif de puissance installée de 25.000 MW en 2020. La Fédération Environnement Durable (FED), rappelle qu'en période anticyclonique notamment l'hiver les éoliennes seront inutiles et que sous peine de blackout l'électricité sera produite par des centrales de secours à gaz, fioul ou charbon, qu'il faudra construire.

Cliquer sur le lien suivant pour lire les données sur le site de "RTE Réseau de Transport de l'Electricité" :
http://www.rte-france.com/fr/developpement-durable/maitriser-sa-consommation-electrique/eco2mix-consommation-production-et-contenu-co2-de-l-electricite-francaise#mixEnergetique

Assemblée Générale de Plus Belle Notre Verzée, 2 décembre 2011

On remarquait dans la nombreuse assistance, des journalistes, un agent immobilier, des agriculteurs, des chefs d’entreprise, un ingénieur, des commerçants et plusieurs citoyens britanniques. Une assistance révélatrice du caractère pluriel et de la diversité de nos membres.

Principaux points développés :

•  les moins-values, de 20% à 50%, du patrimoine immobilier dans un rayon de 3 km, et souvent plus, autour des parcs éoliens. Un agent immobilier a fait remarquer que les biens immobiliers en co-visibilité avec des éoliennes sont, dans la réalité, invendables.

•  le refus du Préfet du Maine et Loire de signer la demande de ZDE de Pouancé-Senonnes suite aux nombreuses démarches de notre Association.

•  Le recours de l'Association devant le Tribunal Administratif de Nantes, contre le recours du promoteur éolien allemand P&Technologie concernant le projet Pouancé-Senonnes.
Ce promoteur avait décidé de contester la décision du Préfet de rejeter le projet.
Conséquences : notre Association s'est alliée au Préfet contre le promoteur allemand P&Technologie, situation assez originale mais, prestigieuse.

•  les courageux combats d’associations voisines contre des projets éoliens :
-  Association « Vent des Moissons d’Angrie » à Angrie, dans le Maine et Loire,
-  Association « C du Vent », opposée à Eole Generation, dans la région de Quimperlé,
-  Groupement Savin , Senonnes – la Rouaudière

•  la mise en garde des habitants d’Armaillé par l' Association.
Plus Belle Notre Verzée est tout à fait opposée au projet du promoteur éolien Eole Generation qui veut installer à Armaillé 5 éoliennes industrielles géantes de 150 mètres de haut.
L'Association est confortée et rassérénée dans son opposition par la virulente opposition des habitants de la ville de Scäer en Bretagne, également confrontée à Eole Generation (région de Quimperlé). Les habitants subissent actuellement de très graves nuisances d’un parc éolien déjà installé par le promoteur Eole Generation.
Reconnaissance à peine voilée de ces graves nuisances : les dédommagements de 150 000 € proposés par le promoteur à certains habitants pour calmer leur grave mécontentement. Sans succès puisqu'aucun d'entre eux n'en ait satisfait en considération de la gravité de ces mêmes nuisances et de ses conséquences.
Par ailleurs, le Tribunal Administratif a ordonné la fermeture nocturne du parc éolien dont Eole Generation est promoteur.
Devant la colère des habitants, le commissaire enquêteur a émis un avis négatif concernant un second projet du promoteur Eole Generation dans la même région, non loin de là.

•  la décision prise par Plus Belle Notre Verzée de se joindre au recours, devant le Tribunal Administratif, entamé par le groupement Savin contre la demande de Permis de Construire face à un projet éolien situé à Senonnes – la Rouaudière, toujours proposé par P&Technologie.

•  nouveaux membres de l' Association :
-  Patrice et Anne Savin, propriétaire d’un gîte rural à la Rouaudière, sur la zone Pouancé-Senonnes, qui eux aussi luttent courageusement contre le promoteur éolien P&Technologie pour défendre leur bien.
-  Un ingénieur, spécialiste des spécificités techniques des aérogénérateurs qui apportera son précieux concours à l’Association.

Cliquer sur le lien ci-dessous pour lire l'article du Haut Anjou, édition du 9 décembre 2011, concernant l'Assemblée Générale de Plus Belle Notre Verzée :
https://docs.google.com/open?id=0B2dzU5mlJHm_NGI1OTdkMGQtYzgyNS00OTJjLWJmODEtZGQ5YWFlNDNmOTZi

dimanche 20 novembre 2011

Ouest France, édition du 18 novembre 2011 : l'interview de Bernadette KAARS, présidente de la Fédération Vent d'Anjou (dont fait partie Plus Belle Notre Verzée), membre de la FED au niveau national (Fédération Environnement Durable). Bernadette KAARS et nombre de nos associations membres de Vent d'Anjou, étaient reçues par Maître Isabelle de BODINAT, notre avocate, qui est spécialiste du Droit de l'Environnement.

Les écologistes contestent le choix systématique de l'éolien depuis dix ans par les pouvoirs publics. On ne peut pas faire de l’écologie sans penser aux gens qui habitent sur place. Une éolienne, c'est un monstre de 150 mètres de haut, qui tourne même la nuit, qui cliquette et qui clignote. Cela a un impact visuel sur 30 kilomètres. Terminer le plaisir gratuit de contempler un paysage.

C'est surtout un véritable jackpot pour les promoteurs qui sont tous allemands ou danois. EDF leur rachète l'énergie, deux fois le prix du marché pendant dix ans, quelque soit la quantité. Et c'est le consommateur qui paye. Pendant ce temps là, nos maisons perdent 40 % de leur valeur. Et la clientèle des gîtes ruraux baissent tellement qu'ils n'ont plus qu'à fermer. 

Pour diversifier les sources d'énergie, on doit commencer par l'habitat. Ensuite, il y a la biomasse. En Allemagne, on considère qu'il y a là le même potentiel qu'avec l'éolien. C'est un gisement colossal, sur lequel la France ne fait aucune recherche. Alors qu'il a deux avantages. Il crée des emplois contrairement à l'éolien. Et ne bouscule en rien le patrimoine.
Ni l'Europe, ni la communauté internationale n'obligent la France à ne développer que l'éolien comme elle le fait
.
Cliquer sur le lien ci dessous pour accéder à l'article de Ouest France :
https://docs.google.com/open?id=0B2dzU5mlJHm_MWM4N2ExY2QtNTQzOS00MTZlLWJkYjQtYzM1ODI5NTFmYWVj

samedi 19 novembre 2011

Ecologie, Developpement Durable, Accord EELV-PS, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé, Cécile Duflot, Martine Aubry, François Hollande, Bertrand Delanoë, Ump, Nucléaire, Charte De L'environnement, Grenelle De L'environnement, éoliennes, préservation du paysage, députés en désaccord avec le Ministre, Ecologie politicarde ou Comment la politique rend inaudible tout message cohérent sur l'Ecologie... Mais, qu'est ce donc que l'Ecologie...

Plus Belle Notre Verzée est une association apolitique. Nous sommes une association qui ne perçoit aucune subvention, ce qui nous rend indépendants et non liés aux intérêts mercantiles et politicards  de pseudos "acteurs désintéressés, écologistes et humanistes". C'est ce qui nous permet de considérer de manière non partisane l'incohérence globale de la classe politique sur le sujet des énergies non renouvelables. 
Nous n'avons pas résisté à retranscrire l'article du journal Le Figaro, édition du 18 novembre 2011, qui discrédite toute idée d'une orientation politique claire et précise en matière d'éoliennes confrontée à la notion forte de préservation du paysage. On y évoque les humeurs de l'UMP face à Madame le Ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet.  
Jeudi 17 novembre, l'assistance composée de 150 sympatisants et députés est particulièrement houleuse. On perçoit l'embarras de Madame le Ministre pour défendre les énergies renouvelables et les éoliennes : « Il n'y a pas de source d'énergie qui ne pose pas de problème » finit elle par avouer au bord de l'abîme… Une incertitude pesante et révélatrice des hésitations de la classe politique au sujet des éoliennes… 


A lire avec attention le dernier paragraphe intitulé : "La préservation du paysage"...
Article que vous pouvez retrouver sur le site : Le Figaro.fr à partir du lien ci dessous.
Dernier paragraphe que nous reprenons dans sa version papier à partir du second lien ci dessous, comme pour rendre plus palpable encore, les authentiques hésitations du monde politique concernant la cause des énergies renouvelables et plus particulièrement les éoliennes. 

L'Article :
L'UMP tenait jeudi 17 novembre sa dernière convention thématique sur le développement durable.
Une dernière convention thématique avant le travail de synthèse pour le programme de 2012. Et pas n'importe laquelle. L'UMP a achevé jeudi son travail de réflexion et de proposition par une convention sur le développement durable. En pleine polémique sur les tractations entre Verts et PS concernant l'avenir du nucléaire en France, le rendez-vous ne pouvait pas mieux tomber. «C'est une coïncidence», s'amuse Nathalie Kosciusko-Morizet, grande maîtresse de cérémonie de cette matinée de débat. Depuis plusieurs mois, on savait à l'UMP que le débat sur le nucléaire serait l'occasion de pilonner la gauche. Mais personne n'imaginait Rue La Boétie que l'accord entre le Parti socialiste et Europe Écologie-Les Verts se transformerait en un tel imbroglio.
«La vérité est apparue au grand jour», se félicite Jean-François Copé. «L'idée selon laquelle le développement durable est porté par la gauche est définitivement morte jeudi soir en direct à la télévision», ajoute le secrétaire général de l'UMP dans une allusion aux interventions de François Hollande au journal télévisé de TF1 et de Cécile Duflot sur France 2. «Suivant ce qu'ils ont regardé jeudi soir au 20 heures, les Français n'auront pas compris la même chose», renchérit NKM. Tout cela relève, aux yeux de Copé, des «petits marchandages électoraux de la IVe  République», qui mettent en cause «l'indépendance énergétique de la France». «C'est ce qui fait la différence entre un grand dirigeant et un responsable politique lambda», ajoute-t-il.
Le Parti socialiste «sous-traite ces questions aux écolos» et les Verts, eux, «ne parlent pas d'écologie car ils parlent politique», martèle NKM. Citant Georges Pompidou, qui, dès 1970 à Chicago, avait souligné que «l'emprise de l'homme sur la nature est devenue telle qu'elle comporte le risque de destruction de la nature elle-même», Jean-François Copé inscrit le quinquennat de Nicolas Sarkozy dans le long héritage de la droite en matière de développement durable: «À notre actif, la charte de l'environnement et le Grenelle de l'environnement porté par Jean-Louis Borloo et Nathalie (Kosciusko-Morizet)».

«La préservation du paysage»

Reste à en convaincre les militants de l'UMP. L'une des principales préoccupations des quelque 150 sympathisants qui assistaient à la réunion jeudi demeure «la préservation du paysage», menacée par les parcs d'éoliennes et la construction de lotissements. Embarras à la tribune au moment de répondre. «Il faut quand même loger les gens», essaye Nathalie Kosciusko-Morizet à propos des constructions de lotissements. «Il n'y a pas de source d'énergie qui ne pose pas de problème», ajoute-t-elle pour défendre les éoliennes. Sans visiblement convaincre une assistance houleuse sur cette question.

Le Figaro, édition du 18 novembre 2011 :

dimanche 13 novembre 2011

En Bretagne un certain principe de précaution fait son chemin mettant ainsi EOLE GENERATION en difficulté dans son projet de Parc éolien industriel du Merdy... Ce principe de précaution, appliqué à ARMAILLE, laisserait augurer d'une approche intéressante et lucide...

Sandrine Auguet, commissaire enquêtrice, émet « un avis défavorable au projet de parc éolien, au lieu-dit Le Merdy, sur le territoire de la commune de Scaër » située non loin de Quimperlé en Finistère. Celui-ci concerne l’implantation de cinq éoliennes. Il est porté par la société EOLE GENERATION dont on connaît les procédés dans le contexte du projet concernant la zone Pouancé-Armaillé.

L’enquête publique s’était déroulée entre le 15 juin et le 15 juillet. Dans son avis, la commissaire enquêtrice juge « opportun d’envisager le recours au principe de précaution », listant notamment « l’absence d’études suffisantes, voire de toute donnée, sur l’impact des bruits aérodynamiques et des infrasons dans le dossier présenté ».
Sandrine Auguet relève « un risque potentiel sur la santé des futurs riverains [...] : les normes sonores actuelles et les informations contenues dans l'étude d'impact présentée à l'enquête publique ne semblent pas suffisantes pour garantir un impact maîtrisé, voire atténué, du projet du Merdy sur la santé des riverains. »
Déposé en mairie le 14 septembre, cet avis a été tenu secret. Michel Calvez, riverain qui avait tôt fait connaître son opposition, a adressé un courrier à Paulette Pérez, Maire de Scaër, lui reprochant que « ce rapport était en votre possession depuis mi-septembre et n'a pas fait l'objet d'une communication aux personnes concernées. »

Ouest France, dans son édition du samedi 12 novembre, rend compte des interrogations de certains élus sur certaines méthodes peu orthodoxes de l'utilisation de la démocratie par d'autres élus moins scrupuleux. 
Ouest France, édition du 12 novembre,


Plus Belle Notre Verzée tient à saluer le courage et la détermination des associations : C du Vent mais aussi, les associations : Les Abers et L'eau et la Terre. 

Gérard CHEVILLARD, le Président de notre association amie "Vent des Moissons" est écouté par sa mairie d'ANGRIE... Une approche plus démocratique qu'ailleurs...

Ouest France, édition du 7 novembre 2011 :

https://docs.google.com/document/d/1Pnf-6eCHBLtjNGMnZf5se5V9W0bd9KuXTdnWO0nIan4/edit

Le Courrier de l'Ouest, édition du 7 novembre 2011 :

https://docs.google.com/open?id=0B2dzU5mlJHm_NmYzMWI5ODItNzQyNi00YTJkLTljZWMtMjBhMWZhYzMyYjI

mercredi 26 octobre 2011

Maître Isabelle de Bodinat, l'avocate, spécialiste du droit de l'environnement, au service de Plus Belle Notre Verzée

Isabelle de BODINAT, avocate spécialiste du droit à l'environnement défend... l'environnement que défend aussi Plus Belle Notre Verzée, notre association, elle même défendue par cette avocate qui donne du fil à retordre aux anarchiques projets éoliens industriels imposés sans concertation par quelques uns...
A lire cet article de Ouest France du 12 octobre 2011
Cliquer sur le lien suivant et télécharger :
https://docs.google.com/leaf?id=0B2dzU5mlJHm_NDc5MTU3NzItZjRjYy00YjA2LTg0OTctNjU4NDlhOTE5ZjRm&hl=fr

samedi 24 septembre 2011

Une opposition structurée sur le Haut Anjou... Comme partout ailleurs...

La Fédération Environnement Durable représente 700 associations au niveau national.
En Maine et Loire, treize associations différentes et locales mais, unies pour une réflexion constructive sur le thème des énergies renouvelables se sont regroupées au sein de Vent d'Anjou :  Plus Belle Notre Verzée, Don Quichotte 49, Tigné Préservé, Vent des Moissons d'Angrie, Les amis du Pays de Flée, Brizéole, Vigilance environnement, Antoigné sous le Vent, Chavagnes Authentique, Les Collines d'Antoigné, Luigné Authentique, Vivre au Puy Notre Dame, Vol au Vent 49.

Ce qui se passe en Haut Anjou est à l'image de ce qui se passe partout au niveau départemental ou national.
En Haut Anjou, l'opposition s'est ici structurée autour de trois "pôles" : 
  1. l'Association Vent des Moissons d'Angrie.
  2. l'Association Plus Belle Notre Verzée sur Pouancé et Armaillé. Plus belle Notre Verzée est aussi étroitement liée à  
  3. un groupement constitué de Monsieur et Madame Savin - propriétaire d'un gîte à La Rouaudière -, menacés par un projet éolien à 500 mètres de chez eux et qui ont aussi fédéré autour d'eux une quinzaine de propriétaires anglais de Senonnes et Congrier. Au sein de ce groupement, on retrouve également des entraîneurs de chevaux de Senonnes. 
    Chacun de ces trois "pôles" fait face à des projets de parcs éoliens industriels différents mais, toujours discutables en tous points.
      Vent des Moissons d'Angrie publie dans son bulletin N°5 des éléments susceptibles de nourrir la réflexion sur le projet de parc éolien industriel qui les menace. De biens belles photos...  https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=explorer&chrome=true&srcid=0B2dzU5mlJHm_OTgxMjZjNjMtZTZkNC00NzcyLTlhZDMtODU5ZjgzMzAyMzZk&hl=fr

      lundi 22 août 2011

      Un article du Haut Anjou, édition du vendredi 19 août 2011, dénonce les procédés d'EOLE GENERATION :

      https://docs.google.com/leaf?id=0B2dzU5mlJHm_YzY1ZjcxYTgtYzRjZS00NzIxLWJhNWEtOGYxYjUyMzZiYjNk&hl=fr

      L'article du journal, Le Haut Anjou, édition du 19 août 2011 dénonce EOLE GENERATION qui prétend qu'un parc de 5 éoliennes permettrait de générer, chaque année, l'équivalent de la consommation électrique de 8 000 personnes, chauffage compris...  Cette prouesse mensongère n'a été réalisée sur Chateaubriant. Comment le serait elle à Pouancé ?!
      L'article revient sur l'incident du Mât de mesure du vent pour confirmer qu'il s'agit non d'un incident mais, d'un accident qui a détruit le Mât de mesure et qui aurait pu tuer...
      Le "Comité de suivi" du projet est encore évoqué dans le cadre d'une entité qui impose sans jamais remettre en cause et encore moins proposer aux populations...
      Le procès intenté par P&T Technologie contre la décision préfectorale de stopper le projet éolien des Halleries est rappelé pour illustrer la cupidité de sociétés puissantes dont le but s'inscrit dans le contexte d'un capitalisme du profit à tout prix. Ceci, alors même que la protestation contre les infrastructures éoliennes gagne en crédibilité au niveau national.
      Enfin, Plus Belle Notre Verzée, notre association, est décrite comme favorable au petit éolien et même aux grandes éoliennes si elles s'avéraient indispensables, et si, elles étaient installées sur des friches industrielles, comme préconisées par le Président de la République. Plus Belle Notre Verzée défend la campagne bocagère, comme celle de chez nous, destinée à l'agriculture, à l'élevage, à l'artisanat et au tourisme.

      samedi 9 juillet 2011

      Eole Generation, un parfum de scandale sur le Parc existant de Saint Servant et Lizio en Morbihan : problèmes de santé, polémique immobilière... La liste des doléances s'allongent... Les Ministères de l'Intérieur, de l'Environnement, la Préfecture du Morbihan, l'Agence Régionale de Santé (ARS), la Mairie reconnaissent les nuisances graves pour les riverains


      Le Parc éolien de Saint Servant sur Oust et Lizio, promu par EOLE GENERATION en Morbihan, déjà décrédibilisé par de sérieuses études en matière de santé, à nouveau décrédibilisé par une polémique immobilière.
      Article de Ouest France, édition du 24 février 2011  
      http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Ils-ne-supportent-plus-le-bruit-des-eoliennes-_40740-1705133------56165-aud_actu.Htm
      Article du journal Le Ploermelais, édition du 8 juillet 2011
      https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=explorer&chrome=true&srcid=0B2dzU5mlJHm_NmU4ZWMxZDEtYWQwMC00ZTA2LTkzOTMtY2U3ODY0ZTRiOWJi&hl=fr
      Article du Mensuel du Golf du Morbihan, édition Juillet-Août 2011
      https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=explorer&chrome=true&srcid=0B2dzU5mlJHm_OGVkZDY4MDQtOWU3ZS00NGRmLWEwNmMtZjZiMzlmOTZlMzgy&hl=fr
      Notre crainte, c'est qu'un jour la même histoire puisse aussi arriver aux habitants de Pruilllé, Armaillé, la Prévière ou Pouancé, si par malheur, le projet d'Eole Generation devait voir le jour.

      Réunion du Conseil d’Administration de PLUS BELLE NOTRE VERZEE du lundi 16 mai 2011

      Monsieur Thierry de Sayve, Président de notre Association et membre de la FEDFédération Environnement Durable et les membres du Conseil d'Administration font un tour d’horizon concernant l’activité récente de l’association.

      vendredi 8 juillet 2011

      L'intégralité de l'Article du Nouvel Observateur, édition du 29 juin 2011, l’éolien industriel : une absurdité écologique, économique et sociale

      En France, l’opposition à l’éolien industriel se développe indépendamment de toute influence politique et de tout dogmatisme sur le nucléaire. Sa seule raison d’être: un profond respect des territoires ruraux, des ressources naturelles, de la biodiversité, des paysages, du silence et un engagement à valoriser ces territoires pour les générations futures plutôt qu’à les hypothéquer pour faire de l’argent tout de suite et maintenant.

      Car c’est uniquement d’argent dont il est question. Grâce aux subventions publiques, l’énergie éolienne rapporte énormément à une poignée de multinationales. Pour installer des éoliennes, on défriche les forêts là où elles gênent, on bétonne des espaces naturels protégés à travers lesquels on aménage des voies d’accès larges comme une autoroute pour acheminer et entretenir les immenses machines, on défonce le sous-sol de grands réservoirs d’eau douce comme le Massif central pour creuser les fondations de mâts toujours plus hauts. Autant pour l’environnement.

      De somptueux paysages sont remplacés par des parcs industriels, les oiseaux s’en vont nicher ailleurs, des sources sont perdues à jamais ; et pour juger du bruit, il faut vivre à proximité d’un parc (les témoignages de riverains sont accablants) : lancinant, incessant, insupportable. Le fait que certains exploitants soient contraints d’arrêter le fonctionnement des machines la nuit pour laisser dormir les gens le prouve.

      Les conséquences sur le tourisme, le commerce et l’artisanat sont dramatiques car personne ne veut vivre près d’un parc éolien, comme le suggère la chute de la valeur immobilière du bâti, dans une fourchette de 20 à 30%, que la mise en service d’un parc ou la simple confirmation d’un projet provoque. Les promoteurs clament le contraire malgré la jurisprudence.

      Les dégâts sont également d’ordre social. C’est même EDF qui le confirme lors d’un séminaire récent : "Des oppositions violentes à l’éolien se sont développées dans certains villages de Seine-et-Marne, allant jusqu’à déstructurer les liens sociaux (rupture de liens familiaux, déstructuration de la vie associative, violences physiques, atteintes aux biens…)".

      Les mêmes causes produisant les mêmes effets, le tissu social se déchire dans tous les villages concernés. Et voilà qu’on parle maintenant d'impact possible sur la santé publique. On est dans la destruction durable.

      Sortons de l’éolien industriel avant qu’il ne soit trop tard

      Pour comprendre qu’on puisse s’opposer à la production d’énergie éolienne à l’échelle industrielle, il faut commencer par dépasser le cliché qui oppose l’éolien au nucléaire. Non, le mouvement anti-éolien ne roule pas pour le nucléaire. Ce cliché est d’autant plus dépassé que les principaux industriels de l’éolien, regroupés au sein du puissant Syndicat des Énergies Renouvelables qui s’amuse à faire passer les anti-éoliens pour d’affreux réactionnaires, sont aussi des acteurs du nucléaire en France et à l’étranger : GDF Suez, EDF, AREVA, Alstom.

      L’éolien est en vogue dans les milieux urbains qui nous accusent de protéger notre intérêt au détriment de l’intérêt général. Mais quelle est la légitimité technico-économique de ces infrastructures ? Les promoteurs se raccrochent à toutes les causes nationales et planétaires pour faire passer la pilule, maniant la désinformation et jouant sur la peur : 1/ réduction du CO2, 2/ création d’emploi, 3/ alternative au nucléaire.

      1. L'éolien ne réduit pas le CO2

      Même à grande échelle, la contribution de cette énergie à la réduction des gaz à effet de serre resterait tout à fait négligeable (essayons de refroidir l’océan avec des glaçons d’apéritif) ; par ailleurs, elle augmente indirectement les émissions de CO2 car l’intermittence du vent exige, à l’échelle d’un système électrique, que la capacité de production d’énergie éolienne soit doublée d’une capacité de production d’énergie très souple, rapide à mettre en marche et à arrêter, donc par des centrales thermiques brûlant du fuel, du charbon ou du gaz.

      2. L'éolien crée-t-il de l'emploi ?

      On créerait certes des emplois si on construisait des éoliennes en France (ce n’est pas encore le cas) mais le bilan devra prendre en compte la destruction des emplois que l’éolien entraîne en tuant à petit feu l’économie locale, et notamment le tourisme. L’inscription le 28 juin 2011 des Causses et des Cévennes au patrimoine mondial de l’Unesco nous rappelle, si besoin était, que la France est le pays le plus visité au monde et que la beauté de ses paysages y est pour beaucoup.

      3. L'éolien, une alternative au nucléaire ?

      Quant à sortir du nucléaire, il faut penser à autre chose qu’à l’éolien : vu la capacité de chaque machine (environ 2 mégawatts) et l’irrégularité du vent (le rendement annuel d’une machine est à peine de 30%), on aura couvert la France d’éoliennes, on l’aura défigurée, on aura détruit un pan entier de notre économie, pendant que les gains financiers de l’éolien iront renforcer les investissements dans le nucléaire en France ou ailleurs, puisqu’il s’agit de la même filière industrielle et transnationale.

      S’il s’agit d’intérêt général, pourquoi monnayer l’accord des conseils municipaux ? Le fait de dédommager systématiquement les communes, tout en contribuant à leur paupérisation, est un aveu des dégâts et nuisances causés par l’éolien industriel et une preuve de son absurdité technique et économique.

      Si cette industrie est si utile et inoffensive, alors pourquoi ne produit-on pas d’énergie éolienne dans le Lubéron, sur la côte d’Azur, au Cap Ferret, à l’Ile de Ré, à Saint-Barthélemy ou encore sur le Larzac ? Pourquoi ne met-on pas de machines dans les communes urbaines, pourquoi pas au bois de Boulogne et au bois de Vincennes? La réponse, trop évidente, témoigne d’un mépris inouï pour une majeure partie de la population rurale.

      Qu’on remette donc les choses à leur place : l’intérêt général, c’est l’opposition à l’éolien qui le représente, l’intérêt particulier ce sont les promoteurs, soutenus par l’État, qui l’incarnent. Qu’on arrête ce viol de la France rurale.

      mercredi 6 juillet 2011

      UNESCO : NON AUX EOLIENNES DU MONT SAINT MICHEL

      La Fédération Environnement Durable (FED) se félicite de la décision du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco qui le 23 juin 2011 a officiellement demandé à la France la suspension des projets de parcs éoliens, y compris ceux déjà approuvés, qui pourraient avoir un impact visuel sur la baie du Mont-Saint-Michel .


      Pour sauver ce site emblématique la FED et  la plateforme européenne contre les éoliennes industrielles (EPAW), avaient organisé le  26 septembre 2009 une marche internationale dans la baie du Mont Saint-Michel, qui avait regroupé des citoyens de plus de 23 pays.


      Depuis cette date avec la Fédération régionale Basse Normandie Environnement (BNE)  elle a mené  un combat sans répit  en faisant appel à l’opinion internationale pour sauver le Mont Saint Michel  des 11 projets éoliens en cours qui le menacent. Elle s’était révoltée notamment contre l’accord par les services de l'État d'un premier permis de construire d'un parc éolien à Argouges Manche.
      Elle remercie l’Unesco et l’association Europa Nostra regroupant plus de 250 organisations non gouvernementales et dont les prises de position ont été sans ambigüité.
      Elle prend acte de la  clairvoyance des Sénateurs de la Commission de la Culture du Sénat qui se sont rendus sur place et ont exprimé leur vive inquiétude de voir ce site déclassé du patrimoine mondial de l’Unesco.

      dimanche 19 juin 2011

      Assemblée Générale de la FED (Fédération Environnement Durable), le 18 juin 2011

      Assistaient à l'AG, représentant le Maine et Loire, Bernadette Kaars, Présidente de la Fédération Vents d'Anjou et Thierry de Sayve, Président de l'Association Plus Belle Notre Verzée.
      Le nombre d'associations  anti-éoliennes en France est voisin de 700, ce qui montre la puissance de ce mouvement.

      Plus de 200 congressistes étaient présents venant de tous les horizons, Nord Pas de Calais, Provence, Languedoc, Bordelais, Bretagne...
      On notait de nombreux avocats à la tête de ces associations.
      Les sujets abordés étaient nombreux. En particulier, a retenu l'attention, la déclaration de Gérard Mestrallet, PDG du groupe GDF SUEZ, sur le bilan économique désastreux des parc éoliens.

      Par ailleurs, les thèmes spécialisés portant sur :
      - les moins value immobilières (atelier animé avec brio par B. Kaars),
      - l'éolien off-shore,
      - la communication avec les édiles, les médias...
      ont fait l'objet d'ateliers de travail qui se réunirent l'après midi.
      Particulièrement virulentes, les associations luttant contre l'éolien offshore  dénoncèrent  les projets qui demain pourraient saccager des trésors nationaux comme la baie du Mont Saint Michel ou la baie de Somme, entre autres.
      Enfin pour terminer sur une note d'humour, un congressiste se tailla un beau succès en parlant de son livre s'intitulant : " J'irai souffler sur vos éoliennes" pour rappeler que celles-ci ne marchent en général qu'un jour sur quatre…

      dimanche 12 juin 2011

      La logique économique commande de ne pas investir tous ses oeufs dans les énergies renouvelables... mais intermittentes ! Gérard MESTRALLET, président de GDF Suez remet spectaculairement en cause, les énergies renouvelables et plus particulièrement l'éolien...

      Alors que de plus en plus de voix s'élèvent pour réclamer un virage marqué vers les énergies renouvelables, se développe parallèlement une réflexion lucide mettant en exergue les limites de cette même réflexion tant en termes écologiques qu'économiques.

      Cette semaine, au centre d'une polémique spectaculaire, le p.-d.g. de GDF Suez, Gérard MESTRALLET, met en garde contre un recours majeur à ces sources dites propres, et ce, pour des considérations économiques. Un plaidoyer repris par de prestigieux participants à la dix septième Conférence de Montréal, du 6 au 9 juin 2011 et dont le thème était : «Un ordre économique en changement : nouvelles réalités, nouveaux modèles».

      Suez n'avait pourtant pas résisté à la mode des éoliennes industrielles en France en acquérant officiellement, en 2007, 50,1% de la Compagnie du Vent pour 331 millions d'Euros, soit 30 fois le chiffre d'affaires de la petite entreprise montpelliéraine. 
      Quand on aimait bien l'éolien, à cette époque pourtant encore proche, GDF Suez ne comptait jamais ses sous...
       
      Toujours à cette même époque, pourtant encore proche et, très précisément un jour après cette extraordinaire surenchère, "Le Monde" publiait un article où le PDG de Suez s'appliquait à contester avoir payé trop cher tout en précisant espérer contrôler 15 % du marché français d'ici 2015 avec 2000 MegaWatts éoliens installés. Désirant sans doute marquer les esprits, Gérard Mestrallet n'hésitait pas à comparer ses futures éoliennes industrielles à la puissance nucléaire en affirmant que "2000 MégaWatts éoliens, c'est plus qu'un EPR", le réacteur 3ème génération de 1600 Mégawatts. 
      GDF Suez est aujourd'hui encore l'actionnaire de référence de six filiales issues du domaine éolien : La Compagnie du Vent, Eole Generation, GREAT-Alizé Energie, Maïa Eolis, Erelia, CN'Air.

      Aujourd'hui, Monsieur MESTRALLET remet ces nombreux engagements à une place que nous qualifierons, par courtoisie, de moindre importance. Il le prouve à Montréal. Lisez donc ses propos relayés par les médias 
      du monde entier :
      «Tout ce qui est durable est vert, mais tout ce qui est vert n'est pas nécessairement durable. Il faut avoir la sagesse de le reconnaître», a-t-il affirmé d'entrée de jeu devant un parterre de gens d'affaires réunis dans un hôtel du centre-ville de Montréal.
      Monsieur Mestrallet, grand patron de la première entreprise de gaz et d'électricité au monde, juge que les citoyens ne prennent pas la réelle mesure des coûts associés aux sources énergétiques comme le solaire, la biomasse ou encore l'éolien. Il ajoute : «L'offre se développe rapidement, les coûts baissent, mais ce développement s'effectue au prix de subventions publiques souvent importantes dont les pays, le plus souvent désargentés, découvrent le coût». Non, vous ne rêvez pas, c'est bien ici, les propos de Monsieur Gérard MESTRALLET...

      Monsieur MESTRALLET poursuit encore en renchérissant : «Il est clair que l'opinion publique croît que les énergies renouvelables vont être la clé essentielle de l'énergie du futur. C'est vrai en partie, mais sûrement moins que l'opinion publique ne le pense. Parce que ces sources d'énergie sont intermittentes, vont nécessiter de grandes capacités de réserve et vont reposer sur le gaz naturel, en raison de la flexibilité des turbines à gaz.» Quels propos déroutants chez un champion de l'éolien.

      Gérard Mestrallet a illustré son propos par l'exemple d'une île ayant besoin de 1.000 mégawatts pour ses habitants et ses industries : «L'île veut être verte. Donc, elle construit 1.000 mégawatts d'éoliennes. C'est très bien, surtout quand il y a du vent, c'est à dire 30 % du temps. Mais comme les consommateurs veulent de l'électricité tout le temps, il faut construire à côte de ces éoliennes 1.000 mégawatts de turbines à gaz qu'on peut mettre en route comme des mobylettes quand il n'y a pas de vent et les éteindre quand il y a du vent.»
      Résultat des courses, selon le patron du géant énergétique, «On paiera trois fois. D'abord, parce qu'il faut construire deux systèmes, 2.000 mégawatts, alors que l'île n'a besoin que de 1.000. Deuxièmement il faudra subventionner les éoliennes Et troisièmement, les turbines à gaz vont fonctionner seulement 70 % du temps, donc le coût en capital du mégawatt/heure sera augmenté à due concurrence.»

      Autre exemple et selon lui, si on construit par exemple un parc éolien pour alimenter une ville, il faudra en effet prévoir une autre forme d'approvisionnement, comme le gaz naturel, pour éviter la panne lorsque la brise ne souffle pas. Cette multiplication des sources aurait pour effet de faire grimper la facture. «Alors, je crois qu'il faut bien réfléchir avant de s'engager trop massivement dans des productions intermittentes d'énergie renouvelable». On est bien loin du discours pro-éolien d'il y a peu.

      En appliquant la logique du raisonnement de Monsieur Gérard MESTRALLET au projet éolien d'Armaillé, on pourrait dire : "le super patron d'Eole GenerationMonsieur Gérard MESTRALLET, ne donne pas cher du projet éolien d'Armaillé".
      Comme il a raison. Merci, Monsieur Gérard MESTRALLET. Vous au moins, vous dites la vérité.  
      A Plus Belle Notre Verzée, nous ne doutons plus de l'adhésion prochaine de Monsieur Gérard MESTRALLET, à notre association. Nous prenons acte de ses positions et l'attendons à bras ouverts.

      Lors de cette même Conférence de Montréal, ces idées étaient reprises par le président du Conseil mondial de l'énergie, Pierre Gadonneix, dans le cadre d'un atelier sur l'avenir énergétique mondial. «À long terme, il est évident que les énergies renouvelables auront une part», a-t-il admis. Mais pour l'heure, «les différentes sources sont à des degrés de maturité très variables»Dans la majorité des cas, a dit Monsieur Gadonneix, elles sont «intermittentes». Donc «dès lors que leur part dépasse 10 à 20 %, l'irrégularité de la production engendre des surcoûts très importants pour construire des capacités de production d'appoint, mais aussi des réseaux», a-t-il conclu.
      Sans compter, a-t-il ajouté, que la majorité des sources propres bénéficient de subventions de l'État. Fait à noter, tant les gouvernements canadiens qu'américains offrent des milliards de dollars par année aux géants de l'énergie fossile. Des subventions qui coûtent cher au trésor public et que le secrétaire général de l'OCDE, Angel Gurria, a appelé à abolir.

      Quoi qu'il en soit, dans bien des cas, a soutenu Monsieur Gadonneix, le recours aux énergies fossiles — actuellement 80 % de la consommation énergétique mondiale — demeurera essentiel.
      Le secteur nucléaire devrait aussi continuer sa croissance, selon Pierre Gadonneix. Malgré la catastrophe de Fukushima, au Japon, une étude qui doit être publiée sous peu par le Conseil mondial de l'énergie révèle que des pays comme la Chine gardent le cap. Ce n'est toutefois pas le cas de l'Allemagne, qui a choisi de tourner le dos au nucléaire. Une décision qui aurait été prise «sous le coup de l'émotion», selon lui.


      Il se peut que d'autres personnalités aient les qualités requises pour rejoindre Plus Belle Notre Verzée... 

      samedi 26 mars 2011

      Sous les feux des medias, Vent d'Anjou (dont Plus Belle Notre Verzée) rencontre les trois sénateurs du Maine et Loire

      Après la réunion avec le Préfet du Maine et Loire fin novembre 2010, Bernadette KAARS, la dynamique Présidente de la Fédération Vent d'Anjou regroupant maintenant 13 associations, avait organisé à Angers, le 25 février 2011, une journée de travail réunissant une vingtaine de participants :

      - Trois sénateurs du Maine et Loire :
      Madame Catherine DEROCHE, Monsieur André LARDEUX, Monsieur Daniel RAOUL,
      - un journaliste de Ouest France qui a permis un article dans le numéro du samedi 26 février,
      - quinze membres des associations anti-éoliennes,
      - un journaliste cameraman de la nouvelle TV Internet : TV Layon (Anjou-Bretagne). Ces interviews permettent à Monsieur André LARDEUX, sénateur, de faire un point. C'est ensuite à Vent d'Anjou de faire un point sur l'avancement de ses démarches et projets. Cliquez sur le lien suivant :
      http://www.tvlayon.fr/actualites/rubrique/109,Environnement?PHPSESSID=fc98662ac164e9c2eac513ed9256108e

      La Fédération Vent d'Anjou fait un très beau travail en pénétrant au plus haut niveau les milieux administratifs et politiques. Assurément cette conférence fut une belle réussite.
      Plus Belle Notre Verzée était représentée par son président Thierry de SAYVE.
      Comme le disait un des orateurs de cette conférence : "Désormais à chaque projet éolien dans le département, font face des associations déterminées qui s'y opposent".

      Chaque association a pu se présenter devant les sénateurs. De part et d'autres, de nombreuses questions furent posées, de nombreux points furent évoqués, qui sont exposés plus en détails dans le Communiqué de Vent d'Anjou. Un Communiqué que vous retrouvez en cliquant sur le lien au bas de ce message.

      Parmi les points et questions évoqués et repris dans ce communiqué, nous pouvons reprendre, entre autres : l'indemnisation des riverains, le thème : "les éoliennes : un secteur qui ne fournit aucun emploi" mais aussi, l'appui des sénateurs, la question écrite de Monsieur le Sénateur André LARDEUX au Ministre de l'industrie (le lien : http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ110317539.html)

      Un dossier a particulièrement retenu l'attention de tous : celui du développement des unités de méthanisation pour traiter les déchets agricoles et notamment le lisier.
      Ces installations permettraient d'intéresser au premier chef, les exploitants agricoles et permettraient ensuite, une dépollution des régions concernées par les épandages de lisier. Des projets qui seraient bénéfique pour la qualité de l'eau du bassin de l'Oudon et de son affluent, la Verzée.
      Une étude de faisabilité menée par Vent d'Anjou est actuellement encouragée par de nombreux interlocuteurs institutionnels : utiliser l'énergie des déchets agricoles de nos territoires pour une production constante d'énergie à l'opposé des éoliennes qui, elles, n'ont que des rendements aléatoires (sauf pour les promoteurs bien entendu !).

      Le Communiqué de Vent d'Anjou :
      https://docs.google.com/document/d/1s0aQ2vJdBqosY_riwm6hvwemTKjpnMaEO0OJLSJNa-M/edit?hl=fr

      samedi 12 février 2011

      CE QUE LES HABITANTS DU POUANCEEN NE VEULENT JAMAIS VOIR SUR ARMAILLE


      Voici le nouveau photo montage qui nous permet d'aperçevoir ce que l'on découvrirait lorsque l'on quitte la quatre voies Segré-Pouancé, sortie Armaillé-Chazé-Henry et, que l'on se dirige vers Armaillé.
      On peut y voir un paysage de bocage dégradé et sacrifié sur l'autel du politiquement correct, des promoteurs sans scrupules et de l'argent.
      Cliquer sur le lien suivant puis sur "ouvrir" ou "open". N'hésitez en aucun cas à cliquer à nouveau sur la photo ouverte pour l'agrandir à nouveau encore.

      https://docs.google.com/leaf?id=0B2dzU5mlJHm_YzhiMDM5MDEtMmI4Ni00Njc5LWE1YWEtNWQ0YTZlYzZmZDYz&sort=name&layout=list&num=50


      Pour mieux voir encore le dramatique projet du promoteur Eole Generation, veuillez cliquer sur le lien (puis "Open" ou "Ouvrir") :




      Ce photo montage illustre combien ce projet risque de détruire complètement le paysage et transformer le hameau de Pruillé sur la commune d'Armaillé, Pouancé Sud, en zone industrielle.
      Le gigantisme des éoliennes de 150 mètres de haut est parfaitement souligné par le mât de mesure du vent de 100 mètres de haut.
      Que dire aussi de l'impact de ces cinq voire six éoliennes sur les sentiers de randonnées dont les tracés sont pulvérisés par l'emplacement des machines ! Quel gachis !
      Que dire aussi du gîte de Pruillé, répertorié "Gîtes de France" qui propose des prestations de qualité installées précisement sur un site de bocage pittoresque ! Quel gachis ! "Vue avec chambres sur les éoliennes" pourrait être sa prochaine accroche publicitaire...

      Ce mât de mesure du vent de 100 mètres de haut a été positionné, en mai, à Pruillé, sur la commune d'Armaillé, par le promoteur éolien Eole Generation.
      Les habitants de la région Pouancé - La Prévière - Armaillé peuvent
      désormais imaginer la taille gigantesque de cinq éoliennes industrielles de 150 mètres de haut, soit 50 % de plus que ce mât de mesure ! A noter qu'à l'égal de Pouancé Nord, on évoque maintenant, sur Pouancé Sud, le nombre de six éoliennes !

      Pour information, les éoliennes visibles sur la Route nationale 171 entre Pouancé et Châteaubriant, à l'entrée de Châteaubriant, font 120 mètres de hauteur.

      Si ce projet désastreux sur Pouancé - Armaillé - La Prévière devait voir le jour, le bocage serait irrémédiablement détruit et la région soumise aux graves nuisances dénoncées dans nos précédents bulletins.

      Vous pouvez relire les caractéristiques de ces nuisances de toutes sortes dans les archives de notre blog.
      Nous vous invitons, entre autre, à lire le numéro de septembre de Science et Vie, le magazine aux dossiers d'investigation scientifique toujours serieux :
      https://docs.google.com/leaf?id=0B2dzU5mlJHm_YjJkMzFjNTAtMDQ0ZS00ODA4LWE5MTQtYzRlYjViOTFkNmM3&hl=fr






      Vue de Pouancé Sud (Tressé) : un bocage massacré


      vendredi 11 février 2011

      Une nouvelle officielle

      Le Préfet de Maine et Loire ne signe pas la demande de ZDE (Zone de Développement Eolien) pour Pouancé/Senonnes, zone Pouancé Nord. 
      Voir à cet effet, l'article du Haut Anjou, édition du 4 février 2011, dans nos archives intitulées "Revue de la presse locale".

      mercredi 12 janvier 2011

      Le Mont Saint Michel menacé de déclassement au Patrimoine mondial de l'UNESCO par des Parcs éoliens

      Le Mont Saint Michel risque d'être déclassé par des parcs éoliens.
      31 éoliennes géantes sont déjà répertoriées et dénaturent le site qui risque un déclassement.

      En publiant ce communiqué, nous tenons à être au côté de la Fédération Environnement Durabl (représentant 750 associations en France), à laquelle adhère notre Association dans son combat contre les promoteurs éoliens qui veulent défigurer le Mont Saint Michel.

      En effet, l'UNESCO vient de faire savoir que son prestigieux label pourrait être retiré à la région du Mont Saint Michel si les éoliennes y étaient implantées.